T TIME !

 

ELON MUSK OU LAURENT GERVEREAU ?

Partout nous ne sommes rien, mais partout nous sommes le centre du monde

Alors pourquoi subir servilement les idées d’un Elon Musk (ou d’autres humains) qui nous conduisent à l’autodestruction ?

Laurent Gervereau / Mister Local-Global propose de fédérer les initiatives terristes pour défendre notre planète unique, l’espace de nos vies, TERRA, la Terre. Le « T » de nos priorités !

Lisez le livre T TIME !

(vous pouvez acheter le livre T TIME sur lulu.com pour 5 euros en version papier et 3 euros en numérique)

Regardez le film T TIME (32:42) sur YouTube ou TikTok

ou les 17 vidéos T TIME

 

 

T TIME

 

IL EST TEMPS DE REGARDER L’ESSENTIEL

 

Voici 17 petits textes conçus (au soir inquiet d’une vie fertile) par un dénommé Laurent Gervereau ou Mister Local-Global. Il s’étonne de l’autodestruction humaine. Il appelle à un T TIME, un temps où ces humains désemparés ou juste se foutant du futur devraient réaliser qu’ils sont une des composantes de leur planète (et qu’ils l’abîment). Parlons donc maintenant un langage commun en n’étant pas seulement des Terriennes et Terriens habitant la Terre mais en devenant avec volontarisme des TERRISTES, défenseuses et défenseurs de notre environnement unique (avec le symbole « T » de TERRA, notre Terre). Oui, un vrai T TIME ! Organisons-nous ici et partout !

 

SPEAK T !

 

LET IT BE KNOWN !

 

 

  1. On habite la Terre ? Oui, mais on défend notre planète unique (T ATTITUDE). C’est vital ! EHO LES HUMAINS ! C’est simple, nous les humains, nous sommes Terriennes et Terriens, habitantes et habitants de la Terre, TERRA (ou de la Pachamama ou toute autre façon d’appeler ce lieu commun vital). Alors, être TERRIST c’est choisir de défendre notre planète unique. Pas plus compliqué. Moi, je me sens TERRIST et tout en découle : T FOR TERRIST. T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. Si on n’apparaît pas, on INEXISTE et on laisse les humains dans des pensées confettis. T TIME. Je sors de mon INEXISTENCE médiatique volontaire (avant de disparaître physiquement). Du trou noir des écrans (sans chercher à me vendre ou me mettre en scène). BIG HOLE. Mais vous pouvez aussi me lire. J’ai écrit depuis des décennies. Secouez-vous les TERRISTES ! Secouez-vous les humains. Confettis. Nous vivons des pensées confettis ou des dogmes. Soit les humains ne contrôlent plus rien ballottés au jour-le-jour, à la seconde, à la micro-seconde. Soit ils s’enferment dans un dogme échappant aux faits, ils s’enrégimentent. STOP : T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. Oui, nous ne vivons pas « moyen » avec des « pays », mais dans des réalités par strates du local au terrestre. Alors les humains…. On sort du foutoir mental ? Nous avons des dangers planétaires (dérèglements climatiques, pollutions…) et nous pensons MOYEN, MEDIUM. Nous pensons pays, nations, nous pensons que des croyances ou des idéologies vont s’imposer à toute la communauté humaine. BULLSHIT ! En fait, nous subissons. THINK GLOBALLY, ACT LOCALLY. La formule est ancienne mais moi je précise : je vous le dis depuis des années, nos réalités sont STRATIFIEES (LAMINATED) : locales, régionales, nationales, continentales, terrestres. Alors les décisions humaines doivent se prendre à chaque strate. Comment faire ? D’abord toujours penser les situations des humains en général et en tirer des conséquences particulières locales et individuelles. GENERALISTES-SPECIALISTES. Penser large pour agir précis. Il n’est plus temps de nous opposer en lutte de sexes, de classes sociales, de religions, de nationalités, de communautés virtuelles, de goûts… il est temps de s’unir pour l’essentiel en s’ouvrant à la variété des modes de vie et des croyances : UNI-DIV (unité des humains dépendant de leur biosphère, diversité des choix individuels et locaux). Oui, nous voulons influencer les agissements humains collectifs (fédéralisme planétaire), quand nous perdons tant de temps à polluer pour du fric et à s’entretuer (toutes les guerres humaines sont des guerres civiles), tout en nous déterminant au jour-le-jour et en évoluant chacune et chacun. T FOR YOU / YOU FOR T

 

  1. Parlons nos langues locales dans une formidable culturodiversité, mais parlons-nous aussi entre humains. MY ENGLISH / MY FRENGLISH ? Il faut défendre toutes les langues, la formidable culturodiversité humaine, culturodiversité évolutive car nous n’employons pas les mêmes mots suivant les générations, les lieux, les âges. Inventer de nouvelles langues, défendre les langues en perdition et puis traduire : à enjeux communs, messages dans toutes les langues. Alors vive mon frenglish ! BROADCAST AND SPREAD T ! T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. Contre le torticolis rétro ou l’illusion techno du futur : tri rétro-futuro. COOL LES HUMAINS ! OPEN YOUR MINDS ! Réalités stratifiées sur notre biosphère commune. Comprendo ? Se situer dans l’espace. OK. Nous déconnons grave aussi dans notre rapport au temps. DEUX STUPIDITES DANGEREUSES : nous nous bloquons souvent dans un TORTICOLIS RETRO en idéalisant hier. C’est connu, c’est rassurant. Tendance inverse, nous fonçons dans des utopies pourries en nous imaginant que tous les problèmes de la Terre et les nôtres spécifiques ici seront réglés par magie techniciste dans un terme qui a montré son ambivalence : LE PROGRES. Je dis depuis des années : arrêtons ces catastrophes, pensons TRI RETRO-FUTURO. Cela n’est pas le rétrofuturisme (une esthétique du futur imaginé hier). Non, c’est plus profond, cela veut dire constamment réfléchir à ce que l’on veut conserver –ou même rétablir——, ce que l’on refuse et là où on veut innover individuellement et collectivement sur une planète en évolutions. Voilà qui touche par exemple les choix entre connexion / déconnexion ou les dévirtualisations évolutives (DEVIRT, titre d’un de mes livres). Cela veut dire sur le fond qu’il y a des solutions humaines utiles (un fédéralisme planétaire avec une police, une justice planétaire, des structures de décision stratifiées…) et des choix individuels et locaux diversifiés, évolutifs. CE N’EST PAS UTOPIQUE, C’EST PRATIQUE ! IT’S NOT UTOPIAN, IT’S PRACTICAL ! Make your choices. RETRO-FUTURO SORT ! T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. Arrêtons de nous autodétruire : contre les périls communs, intérêts communs à se rassembler. Je suis là, seul, à vous parler (tant que ce support sera conservé). Je vous dis des choses depuis des dizaines d’années sur le monde des images, la propagande, la publicité, l’histoire longue de la pensée environnementale humaine. J’ai fait des expos, des livres, des peintures, des films, de la musique… UNE CHOSE ME TROUE LE CUL : la capacité humaine à s’autodétruire, puis, dans la panique, à tout faire pour se sauver à la petite semaine. Depuis le XIXe siècle industriel, le risque est beaucoup plus grand et les dystopies ont du sens (j’ai publié LA FIN DU MONDE NE DATE PAS D’AUJOURD’HUI) car les destructions dans la biosphère terrestre sont à l’œuvre. Mais les humains continuent à s’imaginer bientôt dominer le monde comme des petits gosses écervelés : MMM (Moi Maître du Monde). T TIME : T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. Le RELATIF : parler la langue commune des sciences, des savoirs évolutifs et adopter la compréhension de la diversité des solutions locales. Pragmatisme critique et philosophie de la relativité. Il y a eu la RELATIVITE scientifique. Il faut promouvoir une PHILOSOPHIE DE LA RELATIVITE / PHILOSOPHY OF RELATIVITY, des interactions et des interdépendances. Non pas le relativisme (tout vaut tout, donc rien ne vaut rien) mais l’affirmation du DIVERS (DIV), impliquant une diversité de points de vue et de situations et de convictions, mais dans le souci de l’essentiel (UNI) avec l’acceptation d’une langue commune, celle des sciences avec visions critiques, expérimentales, évolutives. Libres de nos croyances, de nos passions, de nos imaginations, NOUS, HUMAINS, DEVONS ACCEPTER LE LANGAGE COMMUN DES CONNAISSANCES SCIENTIFIQUES AVEC LA DIVERSITE DES PENSEES ET DES MODES DE VIE : UNI-DIV. Pas du scientisme, pas de religion de la science et de la technique, mais un langage commun à partir des démarches évolutives, critiques et expérimentales des sciences. KNOWLEDGE IS BEAUTIFUL disais-je en 2010. Et toutes sortes de savoirs. DIVERSITY (DIV) OF LIFESTYLES AND COMMON SCIENTIFIC LANGUAGE (UNI). T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. On résume notre unité humaine nécessaire (UNI) et la formidable diversité des solutions (DIV) : UNI-DIV, singulier-pluriel. T TIME. Bon, on résume. Il faut parler aux humains pour les secouer, pris entre sociétés du contrôle (KONTROL) qui préparent les catastrophes dictatoriales d’un côté et guerres de pouvoir et d’argent du chacun pour soi (KAOS) de l’autre. Bref, du n’importe quoi autodestructeur. J’ai expliqué que ces humains vivent de façon stratifiée (LAMINATED) du local au global et inversement. J’ai expliqué qu’ils doivent constamment faire des choix à partir de leurs connaissances de leur environnement : un tri RETROFUTURO. Je viens de constater que le divers est un combat dans une PHILOSOPHIE DE LA RELATIVITE combinant une liberté de points de vue et un langage commun scientifique nécessaire aux humains pour appréhender leurs conditions de vie sur leur planète (UNI-DIV). Mais qui sont ces humains ?

 

  1. Arrêtons de croire qu’on va prototyper les humains clonés : nous avons des identités diverses et évolutives avec des attachements cumulés dans nos environnements. Nous humains (même si nos corps sont augmentés), nous nous sommes autonommés Homo sapiens. Nos consciences sont diverses. Nous sommes le résultat d’évolutions et nous évoluons. Selon les dernières découvertes scientifiques, nous sommes toutes et tous originaires du continent nommé Afrique. Donc nous sommes toutes et tous Africaines et Africains. Ce qui reste fascinant est l’individuation et notre extraordinaire diversité (DIV) avec des identités imbriquées (NESTED, Nested Identities) évolutives dans leurs goûts et leurs façons de vivre. Nous voulons sans cesse enrégimenter et robotiser (MONO) mais nous sommes extraordinairement divers. Voilà pourquoi le profilage génétique, la modélisation physique et l’assignation identitaire sont à l’encontre de la diversité humaine, commune dans des constantes d’espèce et variée dans les déclinaisons. L’intégrisme autoritaire MONO et un égoïsme à petite vue sont à l’opposé du fonctionnement terrestre qui est d’interdépendances et d’évolutions, donc qui nécessite ouverture, éveil, échanges (XCHANGES), empathies. Ne te laisse jamais définir ! Ne sois pas une marque marketée ! Sois ADEFINI / ADEFINED ! Sors de ta prison mentale et matérielle ! Arrache le passé –qui est passé ! T TIME. T FOR YOU / YOU FOR T !                                                                                                                                                                                                                                                      
  2. Nous dépendons de notre environnement, nous sommes relatifs, interdépendants, alors arrêtons l’assignation identitaire et pensons la prolifération de l’espèce humaine. C’est le MULTIPATCH : genre, pays, religion ou idéologie, goûts, habillement, caractéristiques physiques… C’est l’assignation identitaire pour mieux organiser et contrôler. Tu es unique (UNIK). Il n’y a pas de normalité. NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS DES EXCEPTIONS. Ce sont les exceptions qui font évoluer cette « moyenne » virtuelle, ces Intelligences Artificielles. UNIK en interaction dans des environnements : une situation de NATURUMAN fragile. Tu ne peux ignorer ta vision directe (ce qu’il y a autour de toi), tu ne peux ignorer la vision indirecte, c’est-à-dire non seulement ces images que tu reçois de l’ailleurs mais tout ce que cet ailleurs implique pour ta vie présente ici : cosmos, faune, flore, minéraux, vie de ta planète où les activités de surface des humains (jusqu’aux pollutions satellitaires de l’espace) conditionnent leurs environnements. T TIME. T TIME. T FOR YOU / YOU FOR T !

 

  1. Face au KAOS, aux combats des intérêts concurrentiels à court-terme qui conduirons à des paniques sectorielles, affirmons la nécessité d’un fédéralisme planétaire : à problèmes communs, décisions communes. MAIS COMMENT S’ORGANISER ? Je suis seul, comme chacune et chacun de vous. J’envoie des idées depuis des dizaines d’années. Pas très efficace… Je me sens responsable, non seulement de mon devenir, mais de celui de mes proches et de celui de la planète (j’ai écrit : I AM THE PLANET). Quand, depuis le XIXe siècle, les humains ne sont plus seulement des habitantes et habitants de leur planète, mais les responsables en partie de modifications environnementales majeures, IL FAUT SORTIR DE SON NOMBRIL. Comment s’organiser pour celles et ceux qui se veulent terristes ? J’ai dit le combat local pour ses conditions de vie. J’ai dit la nécessité d’un fédéralisme humain planétaire. Comment faire ? Dans la GUERRE MONDIALE MEDIATIQUE, MEDIA WORLD WAR (mon livre de 2007), j’ai décrit le combat de l’information. On parle désormais de guerres hybrides ou des guerres informationnelles. C’est plus vaste, quand le devenir même de nos conditions de vie est en jeu. T TIME !

 

  1. Pour chacune et chacun, entre KONTROL et KAOS, l’urgence est de s’occuper de la Terre, d’avoir un T TIME, une T ATTITUDE, ici et partout. Voilà pourquoi MON ACTUALITE EST LA et je considère que l’urgence première des humains réside dans ces enjeux. Les idées ne mènent pas la vie de la planète, quand des slogans ou des punchlines hyper-éphémères électrisent les foules. Peu importe, il faut s’accrocher aux buts. Voilà pourquoi je décline des concepts qui s’appliquent à notre TERRESTRIAL CONDITION. Un « terrisme » ? Je dirais T TIME, une attitude de vie car je me méfie de tous les dogmes figés : je préfère l’invention, la découverte, l’expérimentation. Pour éviter toute idéologie fixiste, je multiplie les propositions que je rassemble dans une T ATTITUDE. Le KONTROL et la déculturation humaines produisent en effet autant de servilités dépendantes sans aucune réflexion sur les transformations matérielles et mentales. Des mauvaises Intelligences Artificielles prêtes à tous les KAOS. Pas la « fin du monde » mais une Terre disparate de situations non maîtrisées avec des dommages environnementaux terribles. Les outils forgés par les humains (matériels et immatériels) imposent pourtant l’inverse : développer les expériences et les connaissances, faire un saut vers les savoirs, chercher le primordial, le premier, ce qui conditionne notre présent et notre futur. T TIME ! LET’S LIVE T TIME !

 

  1. Notre condition, c’est l’évolution des actions humaines dans l’environnement (NATURUMAN), alors arrêtons tous les retardeurs criminels qui se foutent des destructions au nom de l’argent ou de leur pouvoir. NOUS PERDONS DU TEMPS par rapport aux enjeux essentiels, avant de courir pour parer trop tard à l’irrémédiable. Nous nous focalisons sur le détail, nous nous énervons de l’accessoire, quand le TLMSF (TOUT LE MONDE S’EN FOUT) s’applique au crucial, paraissant lointain, impossible à maîtriser. Alors, puisque les humains aiment les oppositions binaires, il existe probablement aujourd’hui un combat entre les tenants du DELAY, du RETARD (ces retardeurs criminels), et les engagés de la NATURUMAN, celles et ceux qui sont partis pour penser d’abord nos conditions de vie communes et en tirent au jour-le-jour les conséquences. On l’appelle transformations écologiques (et pas juste transition) ou comme on veut. Cela concerne tous les humains avec des buts communs et des solutions diversifiées. La malbouffe, les catastrophes climatiques, les pollutions de l’air, de l’eau et des terres –les pertes de repères aussi dans le foutoir mental consumériste ou les radicalisations autoritaires– touchent riches et pauvres, habitants des campagnes comme des villes. Donc il faut échanger pour agir sur notre NATURUMAN. T TIME. T FOR YOU / YOU FOR T !

 

  1. Alors, que faire ? C’est simple : EMERGENCY / URGENT, contrer les suicidaires égoïstes à courte vue, les dystopiques criminels. Se donner la lettre « T » comme rappel, comme signe des priorités premières de la TERRE. Montrer cette lettre « T ». Avoir une T ATTITUDE pour changer nos organisations. PARLER AUX HUMAINS à travers des plateformes fédérées d’information et d’échanges du local au terrestre. J’ai dit que, par-delà la diversité des croyances et des philosophies, le seul langage commun possible réside dans la démarche scientifique critique, expérimentale, évolutive. Récemment le GIEC a permis de façon collaborative d’apporter des éléments de savoirs sur les dérèglements climatiques. J’ai écrit qu’il faudrait élargir la démarche car des actions locales comme des décisions planétaires ne peuvent se prendre efficacement que sur la base d’éléments de connaissance. En 2010, j’ai lancé KNOWLEDGE IS BEAUTIFUL car j’ai compris combien les déculturations étaient des outils de destruction massive. Il faut un GIEP (sur les pollutions). Il faut des plateformes d’échanges stratifiées sur nos expériences NATURUMAN, car la guerre mondiale médiatique montre qu’une info choisie et une info interprétée sont des armes. Je pense que de façon collaborative les médias doivent mettre en place un label PLURI sur la volonté d’informations plurielles (dans leurs choix et dans leurs interprétations). Je pense que les structures d’éducation à tout âge doivent mettre en place de façon collaborative un label EDUCRITIC sur l’indépendance scientifique des enseignements. Je pense qu’il nous faut une BOUSSOLE EDUCATIVE pour se situer dans le temps, dans l’espace, dans la connaissance de notre espèce et que l’intrication environnementale doit booster les recherches. Cela n’empêche nullement la diversité des modes de vie et des croyances mais l’enjeu NATURUMAN est réel, tangible, premier (des îles sans humains reçoivent des déchets plastiques ou vont être submergées). Nous n’avons pas besoin de parti T TIME mais de développer des plateformes d’information ouvertes avec des expériences variées et des échanges de points de vue, des regroupements à tout niveau pour individuellement et collectivement évoluer. Nous n’avons d’autre choix, sinon le morcellement erratique des situations.  T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. Se parler, échanger, refuser les pantins pseudo-maîtres du monde, agir vite pour fédérer et lancer un PACTE COMMUN EVOLUTIF, une base pour les humains dans l’environnement : nous ne sommes rien, occupons-nous ensemble du tout. EVOLVING COMMON PACT (PACTE COMMUN EVOLUTIF). Voilà ce qu’il faudrait mettre en place entre les humains. Nous avons des intérêts communs et devons nous rassembler dans une gouvernance planétaire fédérée, sinon elle se fera –peut-être– de fait trop tard et dans l’affolement lors de catastrophes majeures. Nous devons accepter des règles de vie basiques entre nous et avec notre environnement : EVOLVING COMMON PACT (PACTE COMMUN EVOLUTIF). Certes, il y a eu des déclarations sur les droits humains mais je constate que des règles simples ne sont pas encore appliquées concernant des pratiques cruelles comme l’excision, l’horreur absurde de la criminalisation de l’homosexualité, mais aussi les agressions guerrières (on condamne le crime individuel et on se sent impuissants devant les crimes de masses), les crimes environnementaux… EVOLUTIF car des débats pourront avoir lieu et des changements ou des déclinaisons locales. Se soucier de la NATURUMAN, de cet ensemble intriqué terrestre des humains et de l’environnement, avec les destructions en cours, nécessite des principes communs. Ils existent dans les règles que les peuples se sont donnés depuis très longtemps et qui concernent d’ailleurs aussi les règles de vie en commun de la faune et de la flore (personne ne vit sans pacte, même implicite). Alors, œuvrons T TIME. Œuvrons ensemble avant de subir un émiettement disparate des environnements restants en nous adaptant localement : T FOR YOU, YOU FOR T !

 

  1. D’où je parle ? Voilà un peu d’ego-histoire : comment je suis passé des manipulations d’images dans la guerre mondiale médiatique à l’histoire longue environnementale ? Et toi tu te retrouves dans tout mon charabia ? Cela me semble simple, banal, évident. Depuis les années 1970 (début du grand roman Humain planétaire), j’ai évolué, tâtonné, inventé, mais dans une continuité, celle des libertaires du XIXe siècle (voir mon film A travers les utopies), des pré-écologistes comme Thoreau, de celles et ceux qui pensent la recherche d’harmonie, la créativité, l’échange (XCHANGE), refusant les actions violentes interhumaines surproduisant d’autres violences. Dans les années 1980, j’ai compris le monde des images (mes articles ou ma série de peintures Téléphagies) et l’importance des systèmes d’influence (résumé dans Les Images qui mentent. Histoire du visuel au XXe siècle ou Un siècle de manipulations par l’image en 2000). En 2004-2005, j’ai créé le Musée du Vivant, premier musée international sur l’écologie, montrant depuis les temps les plus anciens les pensées environnementales humaines : une NATURUMAN. Images et environnement, histoire et créativité. En 2017 j’ai lancé BIODIVERSITE ET CULTURODIVERSITE, à l’origine de NUAGE VERT (nuage-vert.com) à Argentat-sur-Dordogne. TODAY, T TIME !

 

  1. NOUS n’avons pas le choix : la passivité conduit au KAOS des guerres concurrentielles à courte-vue dans un désastre commun environnemental. Les dystopistes, ce sont les retardeurs criminels. T TIME ! Eh oui ! Alors, personne n’a inventé l’écologie –même lorsque Ernst Haeckel forge le terme scientifique en 1866—quand vivre en Terriennes et Terriens en symbiose avec notre environnement est notre condition première et finale, quand les peuples les plus anciens dits « animistes » ont forgé ce dialogue. Il n’existe pas de Préhistoire mais une histoire générale de l’espèce humaine dans ses évolutions et ses environnements. Oui, nous sommes toutes et tous des migrantes et migrants sur une planète en transformations. Nous nous adaptons aux lieux de vie. Souvent nous aimons où nous vivons, que nous soyons arrivés depuis peu ou depuis des générations. Nous avons des attachements cumulés (quand bien même on veut nous résumer à une cause, une nation, une divinité, une personne…). ALORS, QUEL DEVENIR ? Surconcentrations humaines dans les zones restées habitables ? Pollutions généralisées ? Conflits d’un autre âge ? Moi je dis vite : T TIME. T FOR YOU / YOU FOR T ! Structurons-nous. Diffusons l’information. Contre les autodestructions des égoïsmes à courte vue, T TIME ! Oui, affirmons nos valeurs terristes ! T FOR YOU / YOU FORT T !

 

contre les guerres
nationales, médiatiques, économiques, religieuses, idéologiques… et la destruction terrestre

TERRA (T) D’ABORD !

SOLIDARITE TERRISTE !

 

against national, media, economic, religious, ideological wars… and earthly destruction

TERRA (T) FIRST !

TERRIST SOLIDARITY !

 

tous ces textes feront l’objet d’adaptations vidéos, animations, citations, versions musicales… et d’un petit livre peu cher traduit dans différentes langues (avec l’article « Nationaliste ou terriste ? ») achetable sur lulu.com :

https://www.lulu.com/fr/search?sortBy=RELEVANCE&page=1&q=T+TIME&adult_audience_rating=00

texte de Laurent Gervereau / Mister Local-Global le 23 janvier 2025 lors du lancement de T TIME :

J’AI PASSE MA VIE A PRENDRE DATE
 
Certaines de mes idées, sous la pression des événements, ont fini par se répandre
 
J’ai publié en 2000 « Les Images qui mentent » au Seuil et en 2006 « Le Dictionnaire mondial des images » puis « La guerre mondiale médiatique » en 2007
 
J’ai créé en 2005 à AgroParisTech le Musée du vivant, premier musée international sur l’écologie, dans une conception de l’histoire longue des rapports des humains avec leur environnement. Et j’ai préservé des archives et collections, tout en relançant avec Marc Dufumier la Fondation René Dumont
 
J’ai créé en 2014 les Rencontres-Promenades « Histoires de Passages » à Argentat-sur-Dordogne –dont Cabu a dessiné la première affiche– et en 2017 Nuage Vert (nuage-vert.com), qui a maintenant une galerie soeur et un centre de documentation à Paris : NUAGE VERT – Centre des Alternatives
 
EN JANVIER 2025, NOUS NE POUVONS PAS ACCEPTER LES ACTIONS DES RETARDEURS CRIMINELS, ces humains qui pratiquement détruisent nos conditions de vie : dérèglements climatiques, pollutions, guerres impérialistes et commerciales, technicisme aveugle sans choix…
 
QUE FAIRE ? Nuage Vert publie un de mes livres T TIME. Le « T » de TERRA, notre Terre unique, notre PRIORITE ABSOLUE (et liberté pour chacune et chacun de l’appeler Pachamama ou 地球 Dìqiú ou comme vous voulez)
 
Oui, avoir la T ATTITUDE, c’est cesser de subir en étant juste Terriennes et Terriens mais en devenant enfin Terristes, en défendant notre Terre (TERRA), nos conditions de vie. Il faut désormais regarder le général, fédérer les savoirs, sortir des querelles nationales qui nous mènent à la perte quand c’est l’essentiel qui est en jeu
 
LISEZ T TIME pour retrouver du pouvoir local sur ce que vous voyez directement, tout en pesant dans un fédéralisme européen et planétaire autour des conditions de vie humaines sur notre planète
 
CE N’EST PAS UTOPIQUE, C’EST LOGIQUE, PRATIQUE pour TENTER DE SORTIR DE NOS DYSTOPIES
 
Il n’est plus temps de tergiverser et de se laisser faire par des individus suicidaires, les Trump, Musk, Poutine et autres. Parlons aux humains
 
FAITES SAVOIR !
 
Laurent Gervereau / Mister Local-Global par Bernard Plossu

 


T-shirt « T » à porter pour défendre TERRA, la Terre, notre planète unique

 

ne soyez pas juste humanistes, devenez terristes !

 

APPEL POUR NE PLUS SEPARER

NATURE ET CULTURE !

 

L’urgence climatique commence à susciter une prise conscience très large, même si les conséquences n’en sont pas assez tirées.  Une autre urgence apparait, qui lui est liée d’ailleurs : la défense de la biodiversité.

Est organisé en 2020 un Congrès mondial de la nature à Marseille. Des appels de scientifiques nous répètent la destruction accélérée des espèces. Et tout cela doit nous conduire à des réactions concrètes.

Mais allons-nous à nouveau réagir en séparant les humains de la « nature » ? Allons-nous continuer à séparer arbitrairement nature et culture ? Nous occuper de sauver un mammifère sans nous intéresser aux populations où il vit ? La défense de la biodiversité ne doit plus être séparée de la défense de la culturodiversité. D’autant que c’est aussi l’acculturation de populations instrumentalisées dans une marchandisation de tout qui provoque la perte des repères, les pollutions massives comme la disparition des espèces.

Certes, il faut inscrire tout cela dans un mouvement constant, des évolutions. La situation de la biodiversité est semblable à celle du climat. Il ne saurait être question de penser figer les choses définitivement dans un état qui nous semblerait idéal, alors que tout résulte d’évolutions successives. Mais la part des activités humaines depuis l’industrialisation du XIXe siècle et l’augmentation considérable de la population provoquent destructions d’espèces massives comme de cultures (langues, modes de vie…).

La standardisation dans des sociétés du contrôle constitue en effet une forme de crime culturel portant un fort danger liberticide. Peuples, communautés et individus souffrent à la fois d’une perte des repères et de destructions environnementales. Partout il faut donc mener un combat où enfin nature et culture sont rassemblées. Pour l’une comme pour l’autre, des traditions choisies se mêlent à des innovations (du rétro-futuro) sur un plan nécessairement à la fois local et global.

Nous ne pouvons plus accepter de considérer l’environnement comme un décor où les humains sont exclus. Défendre la biodiversité, c’est défendre la culturodiversité. En préservant et en pensant les choix et les évolutions. Ayons une conscience environnementale globale. Soyons, non pas seulement humanistes ou naturalistes, mais terristes !

 

Appel porté dès 2018 par la Fondation René Dumont et Nuage Vert – musée mobile Vallée de la Dordogne (nuage-vert.com)

Apportez vos soutiens individuels et collectifs sur :

contact@nuage-vert.com